mercredi 30 octobre 2013

Hydorah - Retour aux sources du jeu vidéo !


Bonjour cher ami et amateur du jeu indé !

(www.google.ch)
Si le style rétro vous plait, alors le jeu de cette semaine aussi ! Hydorah n'est autre qu'un shoot'em'up a scrolling horizontal, plutôt classique. Développé par Monsieur Locomalito durant 3 longues années, cette perle nous ramène directement aux bons vieux shmup, comprenant tout le côté artistique, tant musical que visuel, ainsi que toute la difficulté que cela implique.
Sans plus attendre, passons à la description du jeu.



Synopsis :
Alors que l'univers est menacé par le dieu Hydorah, vous êtes appelés comme renfort de dernier recours afin d'en venir à bout. 

Embarqué dans un vaisseau à la mobilité rapide et réactive, vous devrez détruire chacun des boss présents à la fin des niveaux. Entre ceux-ci, vous pourrez choisir entre différents types de feu pour chacun des 3 types d'armes à disposition, à savoir tir principal, tir secondaire et tir puissant. Vous pourrez ensuite en augmenter la puissance en récupérant des orbes après avoir tué des ennemis. De cette façon, il est également possible d'augmenter la vitesse du vaisseau, ce qui est utile pour des esquives salvatrices.

Un jeu d'une telle qualité, ça se remarque, d'autant plus lorsqu'il est gratuit !


Trèves de bavardages, vous pourrez télécharger Hydorah à cette adresse : http://www.locomalito.com/hydorah.php

Source images : google

mercredi 23 octobre 2013

Game Dev Tycoon : Devenez créateur de jeux-vidéo !



Pour ce nouveau poste de blog, nous allons vous parler de Game Dev Tycoon, jeu indépendant développé par le studio Greenheart Games, studio fondé par deux frères du nom de Patrick et Daniel Klug.


(www.google.ch)


Créateur de jeux, un métier compliqué ?
Le but de Game Dev Tycoon est de créer son studio développement à partir de zéro. Le joueur commence dans son garage, et doit choisir le nom de sa future entreprise ainsi que l’apparence de son personnage ce qui, il faut l’avouer, n’est pas vraiment utile car il est toujours assis dos à la caméra. Une fois les réglages de début effectués, le joueur va devoir créer son premier jeu avec de faibles ressources. Les ressources grandissent durant l’avancement de la partie, et les ordinateurs ou consoles évoluent avec en fonction du temps passé. Cela passe par le traditionnel ordinateur, la Gameboy, la Nintendo 64 et ainsi de suite jusqu’au consoles actuelles, les frères Klug ont également été malins, ils n’ont pas repris les véritables noms des consoles, mais des variantes comme la Ninvento, la Gameling, etc.

Après ces quelques explications de base, la difficulté du jeu ne semble pas très importante et il est difficile de voir comment est-ce que le studio du personnage pourrait rencontrer des problèmes… C’est à ce moment que les développeurs ont instaurés un système d’argent, où les bénéfices de vente sont pris en compte ainsi que le prix de développement, du loyer et des employés. Si le studio ne dégage pas assez de bénéfices et que son chiffre d’affaire est dans le rouge, la banque proposera un ultimatum au joueur, il aura le choix d’accepter un emprunt de la banque ou de terminer sa partie en faisant banqueroute.


Les notes, c'est de l'argent !
Venons-en aux moyens d’engranger des bénéfices, lorsqu’un un jeu est développé, il faut soit le soumettre à une critique qui influencera les acheteurs (quatre magazines donneront des allant de 1 à 10), Inutile de préciser que plus la note sera haute, plus les acheteurs seront friands des jeux produits, soit le mettre « à la poubelle » et de ne pas le mettre à disposition du public mais dans ce cas, de faire une croix sur les bénéfices potentiels.
Au fur et à mesure de l’augmentation de votre compte en banque, des propositions seront faites au jeune entrepreneur pour déménager dans un bureau plus grand, engager un nouvel employé voir même des contrats d’origines suspectes qui lui permettront de se renseigner sur ses concurrents.



(www.google.ch)


Où l'acheter ?
Le jeu est disponible sur http://www.greenheartgames.com/ ainsi que sur la plateforme de téléchargement Steam pour une somme dérisoire (8.99€) qui offrira de longues et difficiles heures de galère et d’amusement !

mardi 15 octobre 2013

Super Meat Boy : Super Mario en mieux ?



Nouvelle semaine, nouveau jeu ! Nous allons vous parler d’une perle des jeux indépendants que j’ai nommé : «  Super Meat Boy » !


(www.google.ch)


Une idée super protéinée
Le studio à l’origine de ce chef d’œuvre se nomme Team Meat et a été fondé par Edmund McMillen et Tommy Refenes. Le jeu est sorti le 20 octobre 2010 sur Xbox Live Arcade et le 30 Novembre 2010 sur Windows. Il a conquis des milliers de personnes par son gameplay simpliste, sa prise en main rapide et ses graphismes rappelant les consoles d’anciennes générations. Le jeu coûte 13,99€ sur la plateforme de téléchargement STEAM et 14,39€ sur le Xbox Live Arcade.



Un steak en mode ninja ?
Dans le jeu, le joueur incarne Meat Boy, un petit bout de viande avec jambes et bras ayant pour but de sauver une princesse, qui a aussi l’apparence d’un bout de viande mais rose cette fois-ci ! Vous allez nous dire que le concept « Héro-Princesse » c’est du réchauffé… mais pas dans Super Meat Boy car les développeurs ont fait en sorte que chaque niveau soit différent et avec toujours plus de difficultés. Les premiers niveaux sont très simplistes et permettent au joueur de s’habituer aux touches (peu nombreuses il faut l'avouer) et aux déplacements que peut effectuer Meat Boy : sauts, glissades sur les murs, super-sauts, et bien d’autres. 

Si les premiers niveaux ne requièrent pas une grande maitrise du personnage, la suite se complique jusqu’à devenir un amas de lames, de projectiles et de pièges dans le but d’anéantir ou de réduire Meat Boy en viande hachée ! Certains niveaux exigent que vous fassiez une bonne poignée d’essais pour finalement parvenir à sauver la princesse, mais après avoir enfin terminé un niveau compliqué, un autre encore pire que son prédécesseur débarque pour la joie des uns et le malheur des autres !  



Ci-dessus, un exemple de niveau de difficulté moyenne (www.google.ch)

Notre avis 
Finalement, l’expérience Super Meat Boy ne laisse personne intacte, même si celui-ci parvient à compléter tous les niveaux, il voudra bien souvent recommencer pour améliorer le temps fait sur chaque niveau, c’est en quelques sortes un cercle vicieux qui va vous faire passer de longues heures devant votre écran. Parfois, l'envie de performance de l’utilisateur est tellement élevée que certains décident d’essayer de finir le jeu le plus rapidement possible, cette pratique se nomme le « Speedrun », les meilleurs finissent complètement le jeu en moins de vingt minutes alors qu'une personne ne visant pas l'exploit terminera le jeu en quelques heures. Cette pratique requiert une grande dextérité, une concentration élevée et une connaissance quasiment parfaite du jeu.

Si cette présentation vous a intéressé, voici les liens pour acheter le jeu :

Windows :

XboxLive :


mardi 8 octobre 2013

Swordigo - La grande aventure

Touch Foo, groupe de deux développeurs de jeux-vidéos indépendants finlandais, nous propose Swordigo, disponible sur Iphone/Ipad depuis 2012, une aventure magique et remplie d’action.


interface d'acceuil - copie d'écran personnelle

Le début d'une légende...
On incarne un jeune garçon habitant un petit village où règne prospérité. A peine le temps d’apprécier les décors et la tranquillité apaisante, nous sommes amenés à partir à la recherche de notre maître de combat disparût dans les bois. Une fois ce dernier retrouvé dans un pitoyable état, on apprend le retour des armées des Corrompus ; des forces du mals déterminées à détruire le monde. C’est alors que démarre notre quête des quatre fragments perdus afin de reforger l’épée légendaire, seul arme capable de détruire Le Seigneur des Corrompus et rétablir la paix dans le monde.

Et au niveau gameplay?
Bien que le jeu soit imprégné d’un scénario vu et revu à dormir debout, Swordigo reste un excellent jeu et ceci pour plusieurs raisons. Premièrement, il est doté d’un excellent gameplay pour une utilisation tactile. En effet, dès les premières secondes, les mouvements et attaques sont simples et intuitifs, sans rendre le jeu  facile pour autant. On apprécie la maniabilité du personnage et la diversité des combats. De plus, au fil du temps, nous pouvons améliorer notre personnage dans trois compétences : l’endurance (nombre de vie), la force (puissance d’attaque à l’épée) et la magie (puissance des sorts). Il faut veiller à adopter une certaine complémentarité dans ses choix car la difficulté du jeu augmente rapidement.


héro tirant un sort de glace - copie d'écran personnelle

Du côté visuel
Les graphismes du soft font parties des atouts de Swordigo. Des environnements riches et variés rendent les décors remarquables. Entre forêts, villes, cavernes, montagnes et donjons, on s’attache rapidement au monde fictif proposé par les développeurs finlandais. Le mix des éléments en 3D avec le style 2D effectue un rendu beau à voir.

Que de la bagarre?
Outre les combats épiques, le jeu est rempli d’énigmes à résoudre pour continuer sa route. Sans pour autant prétendre des casse-têtes digne de  Professeur Layton , ces questions de logiques ajoutent une certaine intelligence  et addiction au soft. Touch Foo ajoute un système de portails entre les différentes zones découvertes afin d’éviter des « allers retours » inutiles.

Bref,
Il faut compter en moyenne une dizaine d’heures pour venir à bout de Swordigo ce qui est une excellente durée de vie pour un jeu Iphone/Ipad. Contrairement à ses débuts, victime de son succès, le jeu est désormais payant pour la modique somme de CHF 2.-

Disponible sur l’Apple Store ici